16
Mai
2018
Auteur Sophie |
Catégorie Conseils
Le Quotient Intellectuel n’est plus le seul critère sur lequel s’appuient les recruteurs. Le Quotient Émotionnel les aide dans le processus de décision, puisqu’il leur permet, entre autres, de faire leur choix entre deux candidats à compétences égales. On fait le point !
Pour mesurer les capacités d’un individu, se référer à son quotient intellectuel (QI) a longtemps été l’unique critère pertinent. Aujourd’hui, il faut désormais prendre en compte un autre paramètre : le quotient émotionnel (QE). En effet, avec l’évolution du monde professionnel (métiers, compétences, méthodes de travail, etc.), les recruteurs ne se limitent plus aux diplômes et aux compétences des candidats pour embaucher la perle rare. Ils se penchent de plus en plus sur leur capacité à gérer leurs émotions et à analyser et comprendre celles des autres.
Les bénéfices de l’empathie dans l’entreprise
Dans les entreprises fonctionnant en mode agile, cette aptitude se révèle d’autant plus essentielle pour des candidats visant des postes de manager. Et pour cause, savoir adapter sa communication en fonction de l’humeur des collaborateurs ou faire preuve d’empathie, font partie des qualités nécessaires pour encadrer des équipes. Cela permet de réduire le stress dans le milieu professionnel et de limiter les conflits.
Développer son Quotient Émotionnel, c’est possible
Comment calculer son quotient Plusieurs tests ont été conçus autour de différents axes tels que la maîtrise de soi, la conscience de soi et des autres ou encore les aptitudes sociales. En fonction des résultats obtenus, l’intéressé connaît ses points forts et peut lister ses axes d’amélioration. Le quotient émotionnel n’est pas figé. Il ne tient qu’aux candidats de développer ces qualités par le biais de la formation et du coaching par exemple.
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